vendredi 24 avril 2015

Ouverture des inscriptions au cycle management de l’INET

La délégation régionale organise en 2015, le cycle management de l’INET.
Annoncé en août 2014 dans le cadre des engagements présidentiels pour la formation et l’emploi local, cette formation s’adresse aux cadres directeurs de services confirmés et DGS et DGA en prise de poste récente.
Le cycle a vocation à s’inscrire dans la durée et est ouvert à quelques cadres des collectivités de Mayotte.
Démarrage du premier module prévu la 1ère semaine de juin 2015.


PS: il y a peut-être encore quelques places mes collègues réunionnais et mahorais...

Envie d'évoluer professionnellement : candidatez au CSM !

Le Cycle Supérieur de Management (CSM) de l'INET est une formation professionnalisante et diplômante pour les cadres en activité se destinant à exercer des fonctions de direction générale.

Si vous êtes intéressé par le CSM, proposez votre candidature en téléchargeant le dossier.

Source: inet.cnfpt.fr

A l'attention de mes collègues managers...

Assistant territorial socio-éducatif - Concours

Source: JO 24/04/2015

PS: si vous êtes admissibles ou admis grâce à l'info du blog...merci de laisser un petit commentaire ;-)

lundi 20 avril 2015

L'Inet, école des cadres de la FPT, dévoile son projet pour les cinq ans à venir

Fonction publique territoriale
Le conseil d'administration du Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT) a adopté le 15 avril à la quasi-unanimité le projet de l'Institut national des études territoriales (Inet) pour les cinq ans à venir. L'objectif est, en s'appuyant sur près de vingt ans d'expérience, de conforter l'établissement strasbourgeois comme "la grande école du service public local".
"On avait le souhait de franchir une marche", a déclaré François Deluga, président du CNFPT, lors de la présentation du projet à la presse, dans la foulée de la réunion du conseil d'administration. Pour parvenir à son but, l'organisme chargé de la formation des 1,8 million d'agents territoriaux a mené pendant plus d'un an un vaste travail de réflexion et de consultations tant en interne qu'en externe.
Parmi les ambitions de l'institut, qui sont déclinées sous la forme de sept axes et trente orientations : être demain, plus encore qu'aujourd'hui, un lieu fédérant les cadres de direction de l'ensemble des filières territoriales. Les réformes à venir visant l'encadrement supérieur territorial vont l'aider en la matière. En effet, longtemps attendue, la création d'un cadre d'emplois distinct des ingénieurs territoriaux en chef est en vue, puisque l'examen des projets de décrets par le Conseil supérieur de la fonction publique territoriale (CSFPT) est programmé d'ici au début de l'été. La réforme doit renforcer le rôle de l'Inet, puisqu'il reviendra à ce dernier de former les élèves ingénieurs en chef, dont la formation durera un an – plus de la moitié de ce temps devant être consacré à des stages. Complète, cette formation intégrera autant des modules sur l'ingénierie territoriale que sur le management et le pilotage de l'action, ou encore sur la prise en compte des paramètres de l'action publique locale, indique Vincent Potier, directeur général du CNFPT.

Faire se rencontrer les agents des différentes filières

Parmi les cadres supérieurs territoriaux, seuls les officiers de sapeurs-pompiers n'effectueront pas leur formation initiale à l'Inet, puisqu'ils sont dotés d'une école spécifique : l'Ecole nationale supérieure des officiers de sapeurs-pompiers (Ensosp) située à Aix-en-Provence. Mais des coopérations seront nouées avec cette autre école du service public local. Un rapprochement parmi d'autres, puisque l'Inet doit aussi renforcer ses liens avec l'Ecole des hautes études en santé publique (EHESP), qui se trouve à Rennes. Par ailleurs, il est prévu d'"améliorer la qualité du partenariat" avec l'Ecole nationale d'administration (ENA). Il ne s'agit toutefois en aucun cas d'un premier pas vers une fusion avec la prestigieuse école, option qui avait été esquissée en juillet 2014 par plusieurs corps d'inspection dans un rapport sur l'encadrement et supérieur et dirigeant de l'Etat.
En accueillant dans ses murs, à l'occasion de leur formation, la quasi-totalité des cadres supérieurs et dirigeants des collectivités et de nombreux cadres territoriaux (soit au total 2.500 personnes chaque année), l'Inet veut créer une culture commune à ces personnels et faire en sorte que les identités et cultures professionnelles se croisent. Cela sera matériellement plus facile lorsque l'école aura emménagé en 2016 dans ses nouveaux locaux situés dans le quartier de la presqu'île Malraux à Strasbourg. Ce bâtiment respectant la norme de haute qualité environnementale (HQE) accueillera aussi l'antenne CNFPT du Bas-Rhin, qui a vocation à former des agents de toutes catégories. Sous le même toit se fréquenteront donc les dirigeants et les agents d'exécution.

Formation d'intégration allongée pour les A et les B

Le projet de l'Inet conforte le concours comme mode de sélection des candidats aux formations initiales, en proposant en même temps un renouvellement de ses modalités. Ainsi, le prochain concours d'administrateur territorial comportera une épreuve de mise en situation collective des candidats. Par groupes de quatre ou cinq, ceux-ci devront "réussir à construire une décision collective". Il s'agira de favoriser l'aptitude à la coopération et non la compétition, indique Véronique Robitaillie, directrice générale adjointe du CNFPT, chargée de la direction de l'Inet.
Profitant de la rencontre organisée avec la presse, François Deluga a annoncé que les agents des catégories A et B vont bénéficier en 2016 d'une formation d'intégration de dix jours au lieu de cinq, comme le demandent de manière quasi unanime les organisations syndicales, de concert avec le CNFPT. Le projet de décret visant à traduire la mesure dans les faits sera au programme d'une prochaine séance du CSFPT.

Publié le vendredi 17 avril 2015
Source: Localtis.info 
 
A suivre pour la formation d'intégration des catégories A et B !

Laïcité et formation des agents publics


La circulaire du 8 avril 2015 complète la circulaire du 1er octobre 2014 (NOR : RDFF1423791C) relative aux priorités interministérielles fixées à la formation professionnelle tout au long de la vie des agents de l’État pour l’année 2015, de la priorité donnée à la formation aux principes de laïcité et de neutralité des agents publics.
Cette priorité doit être prise en compte dès 2015 par les écoles de service public et les ministères dans le déploiement de leur plan de formation.
La circulaire insiste sur le fait que chaque agent public doit être pleinement informé des obligations professionnelles qui découlent de l’application des principes de laïcité et de neutralité et accompagné dans leur mise en œuvre. Cette priorité de formation initiale et continue est arrêtée pour une durée de trois ans.
-S’agissant de la formation initiale dans les écoles du service public, un module de formation clairement identifié doit être dédié à l’explication du principe de laïcité, sa mise en perspective historique, sa portée juridique et son application au quotidien à des situations administratives concrètes. Un référent par école sera désigné pour la mise en place de cet enseignement.
-S’agissant de la formation continue des agents publics, cette priorité pourra être déclinée dans le cadre de modules dédiés dans les services directement confrontés aux enjeux de la laïcité ou bien faire l’objet d’un volet particulier au sein de formations plus générales, à l’instar de celles mises en œuvre dans le cadre de la lutte contre les discriminations, le racisme et l’antisémitisme ou l’amélioration de la relation entre les agents et les usagers, autres priorités interministérielles de formation consacrées par la circulaire du1er octobre 2014relativeaux priorités interministérielles fixées à la formation professionnelle tout au long de la vie des agents de l’Etat (année 2015).
 Publié le • Par
Source: lagazettedescommunes.com

Vers un renforcement de l’apprentissage dans le secteur public

L’État affiche un objectif spécifique d’accueillir 4.000 apprentis en septembre 2015.
La circulaire du 8 avril 2015 a pour objet d’accompagner la mise en œuvre de l’apprentissage dans le secteur public non industriel et commercial. Les employeurs publics trouveront dans ce document, des précisions relatives tant aux règles de formalisation des contrats d’apprentissage, qu’à la gestion courante de la relation contractuelle.
L’objectif est de compter 500.000 jeunes en apprentissage en 2017. Il est demandé à l’ensemble de la fonction publique de contribuer à cet effort en fixant à la fonction publique de l’État un objectif spécifique d’accueillir 4.000 apprentis en septembre 2015, et 10.000 en septembre 2016.
Les entités concernées sont :
L’État (administrations centrales, services déconcentrés et services à compétence nationale) et ses établissements publics administratifs,
les établissements publics administratifs :
- à caractère scientifique, culturel et professionnel,
- à caractère scientifique et technologique,
- de coopération culturelle ou scientifique.
les collectivités territoriales et leurs établissements publics,
les établissements publics hospitaliers, sociaux et médico-sociaux,
les établissements publics locaux d’enseignement,
les établissements publics industriels et commerciaux.

Publié le • Par Ugo Chauvin • 
Source: lagazettedescommunes.com

jeudi 16 avril 2015

Réunion du réseau des directeurs des ressources humaines

Manifestation
Date de début: 
17/04/2015
Date de fin: 
17/04/2015
8 heures 30 à 16 heures
A la cuisine centrale du Port, 2 rue Sully Prud’homme
 
La délégation régionale organise le 17 avril 2015, une réunion du réseau des directeurs des ressources humaines, en collaboration avec le centre de gestion de la Réunion.

La question principale à l’ordre du jour : l’actualité du régime de retraite des fonctionnaires territoriaux avec un représentant de la CNRACL.

Le réseau Co-animé par le CNFPT et le CDG, est composé des 45 directeurs des ressources humaines des collectivités réunionnaises.

Source: cnfpt.fr

jeudi 2 avril 2015

Administrateur territorial : « Un jury déçu par le niveau des candidats du concours externe »

 Pierre Laplane, directeur général des services de la ville et de l’eurométropole de Strasbourg, était le président du jury du concours d’administrateur de cette année. Il dresse pour La Gazette un bilan de la nouvelle promotion, et de son expérience, agrémentés de conseils pour les futurs administrateurs.

Quel est le bilan du concours d’administrateur, à l’issue duquel 51 candidats ont été retenus, pour 60 postes ouverts ?

Le bilan est quelque peu différencié. Nous avons utilisé la possibilité de préempter une partie des places du concours externe pour augmenter le nombre de lauréats du concours interne. Ce qui a pu être fait en préservant le niveau de reçus du concours externe au même niveau que la promotion précédente, pour laquelle le jury n’avait pas eu recours à cette option.
Le niveau, la motivation ainsi que la préparation des candidats du concours interne nous ont beaucoup satisfaits. Le nombre de fonctionnaires d’Etat, comme l’an dernier, est notable. Ces candidats n’ont pas forcément une grande connaissance du monde territorial mais ils nous ont, pour beaucoup, montré une vraie motivation.
Cinq personnes ont été reçues dans la catégorie de la troisième voie. Globalement, le bilan est là encore satisfaisant. On note comme l’an dernier une certaine diversité.
Le bilan est en revanche plus contrasté pour le concours externe. Des membres du jury ont exprimé leur déception quant au niveau des candidats, même si certains sont très bons. Un certain nombre d’entre eux s’étaient très peu documentés sur la FPT, ses spécificités, les relations aux élus et aux territoires. Ils nous ont montré qu’ils n’avaient pas assez réfléchi, pris contact avec des administrateurs territoriaux, etc.
Mais, au total, la moyenne générale du dernier reçu reste sensiblement similaire à celle du dernier reçu de la promotion précédente. Nous n’avons pas fait preuve d’un excès de sévérité.
Evidemment, nous avons aussi eu en tête le contexte plus contraint pour les collectivités, et une période sans doute plus difficile pour le recrutement. Nous avons pensé également aux changements que devraient connaître à moyen terme les collectivités, l’adaptation de leur organisation, la prise en compte du contexte financier, l’absence probable de remplacement de tous les administrateurs qui vont partir à la retraite, etc. En tant que membres du jury, la question de l’employabilité nous a habités, évidemment.
Nous avons aussi eu en tête le contexte plus contraint pour les collectivités, et une période sans doute plus difficile pour le recrutement.

Avez-vous tenu compte également du cas des candidats reçus l’année dernière qui n’ont toujours pas trouvé de poste ?

Nous y avons pensé, mais sans faire montre d’une sévérité accrue. Pour la promotion Simone-de-Beauvoir déjà, le nombre total de places n’avait pas été attribué. Avec 60 postes ouverts, il peut être tentant de laisser leur chance à des candidats ne présentant pas un niveau de maturité ou de préparation suffisant, mais est-ce leur rendre service s’ils rencontrent par la suite des difficultés ?

Quel bilan tirez-vous de l’épreuve de « mise en situation professionnelle » du grand oral ?

Cette épreuve vise à déceler les capacités de réaction, le sens pratique, les capacités à prendre des responsabilités, c’est-à-dire à analyser une situation et à avoir les bons réflexes, même s’il est évident qu’on les acquiert aussi avec l’expérience. Bien sûr, cette partie du concours peut être vécue de manière différente par les candidats du concours interne, qui ont pu déjà expérimenter les situations sur lesquelles nous souhaitons voir comment les candidats réagissent.

Quelles qualités l’administrateur de demain doit-il posséder ?

Il doit savoir développer une stratégie, pouvoir avoir une réflexion d’ensemble sur un sujet, travers les voies et moyens pour y parvenir. Il est nécessaire d’avoir une vision en somme, mais aussi évidemment un sens pratique. En bref, il faut savoir se projeter vers l’avenir et répondre au temps présent.
Les relations avec les élus revêtent aussi un caractère important. Un fonctionnaire territorial doit pouvoir s’épanouir professionnellement dans un partage de responsabilité avec les élus qu’il faut respecter, mais devant lesquels il s’agit aussi de montrer une capacité à défendre un point de vue, à prendre toute sa part au processus décisionnel.
Un administrateur doit, en outre, savoir mener des équipes, c’est-à-dire avoir un bon rapport aux autres, être dans une relation de confiance avec eux. La dimension humaine est un élément important qu’il faut pouvoir traduire dans ses postures professionnelles.
Enfin, la question de la résistance au stress n’est pas négligeable. Durant le grand oral, certains candidats ont montré une émotion devant les huit membres du jury, ce qui est normal, mais il faut savoir la maîtriser, s’en libérer. Dans une situation professionnelle quelle qu’elle soit, l’administrateur peut être confronté à des relations difficiles avec des élus, des collaborateurs, etc.
Un administrateur doit savoir mener des équipes, c’est-à-dire avoir un bon rapport aux autres, être dans une relation de confiance avec eux.

A titre personnel, pourquoi avez-vous accepté d’être président du jury ?

Cette expérience a été extrêmement vivifiante et riche. Cela permet de poser un regard sur sa profession, ses responsabilités, le service public, la manière dont ce dernier est rendu, etc. Ma carrière est déjà bien avancée ; il y a une sorte de témoin à passer. Une nouvelle génération donnera sa couleur. Mais dans le même temps, il est important qu’elle se nourrisse de l’histoire de ce cadre d’emplois et de la fonction publique territoriale. J’ai mesuré la responsabilité d’une telle mission, mais ce qui est important, comme dans toute prise de responsabilité, c’est qu’on n’est pas seul pour l’assumer !
Poser un regard sur sa profession, ses responsabilités, le service public, la manière dont ce dernier est rendu, etc.
Source: lagazettedescommunes.com

Création d’un comité des DRH public-privé

Marylise Lebranchu a installé mardi 31 mars 2015 un comité des directeurs des ressources humaines public-privé qui a réuni une vingtaine de personnalités, DRH d’entreprises publiques et privées, de ministères et de collectivités territoriales. Une instance qui a vocation à se réunir trois fois par ans.
L’objectif est de construire un échange entre les différents acteurs pour développer les passerelles entre les secteurs public et privé et partager des expériences innovantes dans le domaine de la gestion des ressources humaines et du management, souligne le ministère dans un communiqué.
Mêmes défis - Le privé et le public font en effet face aux mêmes défis. Les mondes du privé et du public ne sont pas étanches et ont tout à gagner d’une compréhension réciproque plus fine : les administrations doivent mieux connaître les entreprises et leurs besoins, et les entreprises doivent mieux appréhender ce que les administrations leur apportent et peuvent leur apporter, a souligné la ministre.
Cette première séance avait pour thème : « La diversification des parcours professionnels des cadres et le développement des mobilités entre privé et public. » Dans son communiqué, le ministère rappelle l’existence du troisième concours, qui depuis 25 ans a permis à plus de 700 cadres du privé d’intégrer la fonction publique d’Etat.
GPEC et formation - Enfin, Marylise Lebranchu a souligné qu’il fallait continuer à professionnaliser la fonction RH avec le développement de la Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) et de la formation aux fonctions de gestion des ressources humaines. Et que ces sujets, partagés entre les deux secteurs, sont essentiels pour l’avenir de la fonction publique.
La prochaine rencontre de ce comité des DRH est prévue pour septembre.

Source: lagazettedescommunes.com

mercredi 1 avril 2015

Proportion minimale de chaque sexe dans la constitution des jurys - Dérogations pour le recrutement ou la promotion dans certains cadres d'emplois de la fonction publique territoriale


Décret n° 2015-323 du 20 mars 2015 fixant des dispositions dérogatoires à la proportion minimale de quarante pour cent de chaque sexe dans la constitution des jurys pour le recrutement ou la promotion dans certains cadres d'emplois de la fonction publique territoriale.
JORF n°0069 du 22 mars 2015 page 5341 - texte n° 26 - NOR: RDFB1418982D

 ...Ce n'est pas un poisson ;-)